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The belief of the Werewolves


 
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« K Y R J A »
Lun 10 Aoû - 21:09
Kyrja
Kyrja
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Kyrja
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Panthère nébuleuse (humaine métamorphe)
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Kyrja

Âge environ 25 ans.
Race supposée chimère.
Meute solitaire.
Situation célibataire.
Inventée

Précisions Kyrja est une humaine métamorphe qui reste presque exclusivement sous sa forme animale (une panthère nébuleuse aux yeux ambrés, capable de parler). Elle est née ainsi, mais ignore tout à propos de ses parents.
Avatar Texte
physique
Kyrja se demande souvent qui pourrait bien trouver une quelconque ressemblance entre ses ocelles et un cumulonimbus. Mais elle ne se plaindra pas de cette étrange association ; ''panthère nébuleuse'', c'est un nom qui a la classe. Elle ne peut s'empêcher de prendre en pitié ceux qui se sont retrouvés affublés de noms tels que ''chat à tête plate'' ou ''manul''. Ces derniers d'autant plus que même la nature leur a collé une tronche telle que personne ne peut les prendre au sérieux. Kyrja, elle, fait partie des chanceux. De ceux qui ont été dotés de tous les dons. C'est sans doute sa plus grande fierté. Bien sûr, l'unanimité et la perfection ne sont que des illusions. Certains jugeront que les mâchoires puissantes et musclées qui donnent aux longibandes quelques airs de jaguar sont trop massives pour leur tête. Que leurs pattes courtes et épaisses les rendent moins gracieuses. Mais qui oserait prétendre que Kyrja n'est pas gracieuse ? Ne reste-t-elle pas un félin, après tout ?
Kyrja n'est pas bien grande pour une panthère nébuleuse. Chose à relativiser, puisque ce n'est pas vraiment une chose qui nous viendrait à l'esprit face à un ''chat'' de la taille d'un border collie armé de poignards de 4cm en guise de crocs. Sa robe dorée, marquée de multiples petites cicatrices dissimulées dans ses poils, est parsemée de marquages de jais qui en soulignent la beauté et lui fournissent un excellent camouflage. Ils accentuent les nuances de son regard d'ambre particulièrement flamboyant, qui trahit sa nature pas tout à fait animale. Sait-on jamais, au cas-où il n'ai pas déjà été suffisamment étrange de croiser une panthère longibande au beau milieu d'une forêt américaine.

Kyrja est en partie humaine. Elle est même probablement plus humaine que panthère, bien qu'elle refuse de le reconnaître. Ses origines du sud-est asiatique sont flagrantes lorsqu'elle se métamorphose en une jeune femme mince aux yeux bridés, à la peau légèrement mate et aux longs cheveux noirs. En tant qu'humaine, sa peau est marquée de quelques cicatrices sur le ventre, et son dos est déchiré par une longue balafre de la clavicule jusqu'à la hanche. Elle prend cependant rarement cette forme, qui n'a de commun avec son apparence habituelle que sa beauté, une taille plutôt petite, et des yeux étonnamment ambrés.
caractère, goûts, secrets
Elle sera probablement allongée sur une branche, à vous épier narquoisement à travers les feuillages sans que vous ne l'ayez encore remarqué. Il se pourrait qu'elle soit dans un bon jour, et qu'elle se montre magnanime en vous répondant si vous lui adressez la parole. Ou qu'elle s'ennuie, et vous juge digne d'être son passe-temps du jour. Peut-être même sera-t-elle agréable. Cependant, si elle s'est levée de la patte gauche, attendez-vous plutôt à ce qu'elle vous ignore vertement, vous gratifiant à la limite d'un grognement peu engageant si vous avez les propriétés d'insistance d'un moustique. Éventuellement, elle pourrait même décider de vous pourrir votre journée, voire votre semaine si elle n'a vraiment rien de plus intéressant à faire. Parce que, si elle, elle doit subir un mauvais jour, pourquoi devrait-il en être différemment pour vous ?
Kyrja peut facilement être une garce. Égoïste, fière, narcissique, elle veut le monde à ses pieds et pourrait bien faire un caprice si on ne le lui offre pas sur un plateau. Elle n'est pas spécialement violente, sinon dans ses propos, mais ne rechigne jamais à sortir les griffes. Et on peut dire qu'elle sait se battre. Elle peut être cruelle, lorsque cela l'amuse. Elle est rusée et manipulatrice, mais malheureusement pour elle, elle a du mal à comprendre les autres et échoue souvent dans ses tentatives de les mener à la baguette. Sa tendance à la raillerie et son impulsivité ne sont d'ailleurs pas d'une grande aide pour les mettre en confiance.
Il arrive pourtant que, malgré ce tempérament enflammé, la longibande s'avère plus agréable. Elle pourrait même se révéler protectrice et loyale. Elle met du temps à accorder sa confiance, et ne l'accorde souvent qu'une unique fois, mais l'accorde avec tout son cœur. 

Kyrja ignore ses origines, mais ce fait l'irrite moins que le fait qu'elle ai peur de les connaître. Elle n'est pas aussi sûre d'elle qu'elle le laisse paraître, et qu'elle voudrait se le faire croire. Elle est pleine de doutes et de questionnements. Elle redoute de découvrir qui elle est, parce que l'inconnu lui a toujours fait peur. Elle déteste le fait d'être partiellement humaine, se sentant particulièrement faible et vulnérable sous cette forme. Elle a une sorte d'aversion pour l'humanité, qui se traduit par une grande méfiance et une agressivité verbale exacerbée.
Histoire
On lui a dit de courir. Et elle a couru.
C'est tout ce dont elle se souvient. Qui était ce ''on'', pourquoi devait-elle courir, elle l'ignore. Et tout ce qui était advenu avant aussi, jusqu'à ses parents. Étaient-ils comme elle ? Était-elle née bébé... ou chaton ? La seule certitude qu'elle a, c'est qu'elle a toujours été un peu des deux. Elle se souvient avoir couru, et elle courait avec quatre jeunes pattes. Quel âge avait-elle ? Elle n'était qu'un chaton. Elle n'avait probablement pas plus de quatre ans, quatre ans humains. Elle se souvient être montée dans un arbre, et s'être pelotonnée dans ses branches, cachée par ses feuillages. Étais-ce un arbre d'Asie ? De sa terre d'origine ? Ou est-elle née ici, en Amérique ?

Ce souvenir hante toujours Kyrja, alors même que tout le reste n'est qu'un brouillard confus. Sa mémoire a raccroché les wagons lorsqu'elle devait avoir un peu moins d'une dizaine d'années. Elle vivait seule, dans une forêt de ce qui devait être l'Amérique centrale. Elle était terriblement jeune, fut-elle une panthère nébuleuse, pour vivre ainsi, et se trouvait dans un état pitoyable. Mais probablement n'était-elle pas seule depuis bien longtemps, puisqu'elle avait autour du cou un collier de cuir auquel pendait une petite médaille argentée. Probablement avait-elle été capturée et vendue comme animal de compagnie aux Etats-Unis. S'était-elle enfuie ? Ceux avec qui elle avait vécu avaient-ils eu conscience de sa part humaine ? Tout ce qu'elle sait à présent, c'est qu'elle tenait à ce bout de cuir, à ce mot formé par les petites lettres argentées gravées sur la plaque : Kyrja.

Elle passa plusieurs années dans la forêt ; parfois, elle s'aventurait dans les villes, se faisant passer pour une enfant des rues en camouflant tant bien que mal son apparence étrangère. Elle était devenue assez familière de la forêt pour y trouver sa nourriture, et apportait parfois quelques fruits qu'elle partageait avec des enfants des rues. Sa part humaine réclamait le lien social qu'elle ne pouvait avoir dans la forêt. Mais elle ne pouvait la satisfaire pleinement, elle qui ne savait parler que l'anglais, dans un pays hispanophone. Elle qui n'était pas une enfant comme les autres. Elle tenta bien, pourtant, essayant de communiquer par gestes, apprenant quelques mots d'espagnol avec les enfants auxquels elle apportait un peu de nourriture, et parfois même des vêtements ou des objets qu'elle parvenait à voler.
Il y avait parmi eux un enfant muet, que les autres appelaient El Mudo. Kyrja le rencontra par hasard, caché au fond d'une ruelle, le visage inondé de larmes. Il pleurait parce qu'il se souvenait, et que les souvenirs sont souvent douloureux, surtout pour un enfant des rues ayant fuit une maison où il subissait d'atroces choses. Ce jour-là, Kyrja fut surprise de découvrir qu'elle arrivait plus facilement à communiquer avec lui, qui n'avait jamais su parler même la langue des signes, qu'avec les autres enfants. Ils avaient à peu près le même âge, certainement une douzaine d'année, et nouèrent vite une forte amitié. Elle le surnommait Ely ; il la nommait d'un sourire. Ils étaient devenus si proches qu'elle lui avoua qu'elle vivait dans la forêt. Mais elle n'osait pas lui révéler sa vraie nature. Elle avait trop peur de le perdre, de l'effrayer.
Ce fut son instinct protecteur qui s'en chargea pour elle. Les rues n'étaient sûres pour personne, encore moins pour un enfant muet. Et dans les rues, ce jour-là, un homme tenta de s'en prendre à Ely. Kyrja n'eut pas le temps de réfléchir, de son contrôler ; en une seconde, elle bondissait sur l'homme avec un feulement. Il s'enfuit, évidemment, sans comprendre ce qu'il venait d'arriver. Mais Ely, lui, avait vu. Et avait comprit. Il n'en fut pas effrayé, il n'en voulu même pas à Kyrja de le lui avoir dissimulé. Il se contenta de l'accepter, et elle l'emmena voir la forêt.
Ce furent des temps heureux, et Kyrja se souvient encore avec un petit flottement dans le cœur de ces journées qu'ils passaient tous les deux dans la forêt, s'amusant avec l'insouciance des enfants qu'ils étaient. Mais elle évite de trop y penser. Les temps heureux ne durent jamais. Et plus brillante est la lumière, plus obscure est l'ombre.
Ely tomba malade. La vie d'enfant des rues ne pardonne pas, et elle n'a pas pardonné. Sa santé se dégrada lentement, au fil des mois, avec cette cruelle paresse qui ne rend que plus terrible l'agonie. Il luttait, de toutes ses forces. Et Kyrja essayait, de toutes ses forces. Mais ils n'étaient tous deux pas assez forts. Elle l'emmena une dernière fois dans la forêt, loin de ces rues maudites où les enfants mourraient et souffraient, loin de cette ville où la seule bonne chose qu'il ai connu avait été de la rencontrer. Une dernière fois, ils se parlèrent dans cette langue qui n'appartenait qu'à eux deux, avec des mots qui n'en étaient pas. Au matin, Ely était mort.

Kyrja n'a jamais su pourquoi sa mémoire capricieuse n'avait pas effacé cette douleur-là. Elle avait oublié tant de choses de son enfance, elle avait oublié qui elle était, ce qu'elle avait vécu. Sa vie était emplie de brume obscure. Elle avait cru que le souvenir d'Ely rejoindrait cette brume qui la meurtrissait en couvrant les plaies de son âme. Mais Ely ne s'en alla pas. Il resta avec elle, toujours. Et seul le temps, le temps qui se souvient et qui martèle l'impossibilité d'un retour, apaisa cette plaie-là.
Kyrja laissa son collier, ce collier auquel elle avait tant tenu, ce collier à la petite médaille d'argent gravée du nom qui constitue la seule identité qu'elle se connaisse, auprès du corps d'Ely. Et elle s'en alla vers le nord, pour ne plus jamais revenir.

Elle avait alors une quinzaine d'années, peut-être un peu plus. Elle gagna les Etats-Unis, et erra quelques temps sans vraiment savoir quoi faire. Où pouvait-elle se poser ? Elle n'avait pas de chez-elle, pas de famille, pas d'identité. Elle ne faisait que marcher, se cacher. Mais elle découvrait un monde nouveau, si différent des forêts verdoyantes et des rues de misère. Un monde où les gens parlaient la langue qu'elle comprenait. Pourtant, elle ne comprenait toujours pas les gens eux-même.
Un soir, un homme l'aperçut alors qu'elle reprenait forme animale pour passer la nuit. Probablement n'était-il pas bien sain d'esprit ; pour une raison qu'elle ignore, il vint, accompagné de deux compagnons, la trouver aux premières heures du lendemain. Ce matin-là fut le dernier où elle se considéra humaine. Ils se jetèrent sur elle, la frappèrent à coups de poings et de couteaux. Ils la raillèrent, l'incitant à prendre forme animale. Et elle hurlait, se débattait, mais la terreur et la douleur dans son dos l'empêchait de raisonner, de se défendre. Elle était impuissante, aussi impuissante que le jour où Ely était mort, aussi impuissante que lorsqu'elle avait couru. Et lorsqu'ils en eurent fini avec elle, lorsqu'ils prirent la fuite en craignant de n'être découverts, elle gisait, baignant dans le sang et les larmes, les vêtements en lambeaux et l'âme meurtrie. Elle se traîna péniblement à l'abri, utilisant le peu de forces qu'elle pouvait rassembler pour redevenir panthère. Et elle se pelotonna dans les buissons, roulée en boule, tremblante. Attendant de se réveiller de ce cauchemar. De ne plus sentir la déchirure de son âme, la douleur cuisante des plaies dans ses chairs humaines. Attendant la mort. Mais la mort ne vint pas.
Elle passa deux jours blottie dans les buissons qui la dissimulaient, sans vraiment savoir si elle restait là à cause de la douleur ou de la terreur. Lorsqu'elle se releva enfin, tous ses muscles meurtris, elle s'aperçut que son corps était intact. Elle songea un instant que ce n'était peut-être réellement qu'un cauchemar, mais la blessure était trop vive dans son esprit, et elle ressentait malgré tout la souffrance de son corps humain. Puis elle fut prise de nausées. A l'idée de ce corps humain, de cette autre part d'elle. Elle était terrifiée à l'idée de redevenir si fragile, si impuissante. Cela la dégoûtait. Il lui fallu des années à accepter de reprendre cette apparence, toujours en s'assurant qu'elle était en sécurité, toujours avec cette appréhension tenace, et cette difficulté à le supporter. Mais, en cet instant, elle en était incapable. Elle s'efforça de se nourrir, de reprendre des forces dans le but de partir le plus loin possible.
Puis elle couru.
Derrière l'écran
PUF Josseline-Yvonne la Reine Chaussette. (Nan c'est faux, je viens de l'inventer si vous en doutiez hein). 
ÂGE Pas assez de mémoire pour m'en rappeler chaque année.
Code du Règlement "Donnez la raison au loup mais ne lui laissez pas la faim". Sérieusement, on voit que les gens sont en panne d'inspiration au moment de faire des codes.


Dernière édition par Kyrja le Lun 13 Sep - 10:43, édité 1 fois
Re: « K Y R J A »
Mer 12 Aoû - 16:58
The Ghost Writer
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